salut
Nous avons depuiis peu des malades en fin de vie mais les lits ne sont pas "étiquetés" soins palliatifs.
Le gros problème rencontré réside dans la gestion de la douleur.
Les traitements ne sont pas adaptés, les médecins et même une partie des ide réfute la notion de douleur si elle n'est pas explicité par des mots.
Un malade mutique, crispé, en position foetale reste pour beaucoup un malade récalcitrant
(et même pour les plus jeunes diplomées)
Nous avon eu récemment un malade agé alzeilmer, avec encéphalopathie sur un terrain d'alcoolisme, tous ses facteurs hépatiques éffondrés, en état de délabrement physique important et à quelques heures de sa mort 'alors que chacun savait qu'elle serait inéluctable) le médecin a refusé les calamants sous prétexte que ça n'allait pas arranger son foie
il a hurlé de douleur jusqu'à 2 heures avant sa mort où il a sombré dans le coma, ce qui a permis au médecin de dire qu'il était parti sans souffrir
La famille n'était pas présente (sdf)
Y'a encore du chemin à faire...
J'ai honte